plainte douloureuse
Des heures succombantOn ce retrouve face à soisNous saisissant de paniqueEt de larmes qui coulentInexplicable.Accroché sa peauSur un porte manteauEt recouvrir le sentiment d’être fragileQuand pour tant d’autre nous sommes forts !Marcher sur le lac des souvenirsQuand celui-ci fut encore hier oubliéLe bonheur des uns fait le malheur des autresAlors il faut ménager tout çaPuis l’autre ne se rend pas compte qu’au bout de la main qu’il tient,A elle aussi sa vie est fragile et sensibleQue cette journée s’achèveParce qu’elle me semble soudainement amer.Pourtant ça y est les larmes on coulaientLe cœur emballaitMe dis ‘tu l aime’Ne laisse pas de failleReprend ta bataille.Alors que je me sens seuleQue dire ?!Que faireIl n’est pas pareilJe le sais …Mais je sens mon corps ce glacé.Une plainte bien douloureuse …