NOS NUITS
LE SILENCE s’éteint sous sa peau humide,
La vie batifole encore de milles délice,
Elle à beau caché l’extraordinaire
L’amour s’ouvre sous ses pieds.
De grandes ailes l’emportent dans les astres clairs de la nuit étoilée,
Pour encore un souffle, encore une vie prés de lui
Cessant les combats meurtries et flétris par l’abus de la vie !
Pas de religion, aucune différence, plus rien ne peux faire abstraction
Aux anges de la nuit…
NOIR ou blanc ils s’entremêlent, Ce distincte d’une seule auréole…
Quoi que décide l’avenir, jamais ils ne s’oublieront.
J’ai dû mourir cent fois dans ton regard,
Et cent fois j’ai survécu dans tes bras …
J’ai vécue dans tes silences
Puis découvert l’émerveillement de ton sourire.
N’ai-ce pas le privilège d’être ensemble dans le ciel étoilé,
Quand sous nos pieds la ville s’éteint à jamais.