la porte mystérieuse

Il me semble avoir fermé une porte
Je ne sais encore laquelle.
Pile de la pièce l’emporte,
La face reste un linceul.
J’ai porté dans le creux de mes mains
La lave en activité
Lorsque nous avions brisé la chaine de la vérité !
Pillé mon cœur nu,
De tes doigts dentelés !
Exquis un sourire de damné,
De n’avoir su réconforté
La mort à mes pieds !
Après avoir succombé au long regret
De tes terres immigrées…
Nous nous sommes retirés
D’être tant aimé…
Regard sous nos pas la terre trembler.
Ecoute l’appel d’une vie déchainé !