NOIR
Tout défileIci, quand tout ce montre trop tranquilleTout s emboîte,Terrible et pourtant triste dérisoire.Les nymphes,Accueillantes,Du point ; limite troublantes.Il y a des branches immobilesQui font silence dans la nuit des collines,Et font bataille dans la nuit que l’on devine.Aimer pourtant la magie de ses mainsLorsque alors je n’y vois rien,Il y laisse des couleursEt les bruits de son cœur.Il regarde soudainement dieu !Tout défile, assassinLa vie est à peindre,Pourquoi avoir besoin de partir si loin,Pour nos yeux qui ne voient rien !Il n’y ressemble rien comme un au revoir,Je sais qu’il est déjà trop tard,Lorsque d’autres voix parlent à ma place.Pourtant je ne veux me résoudre à croire ….