DES VALSES
Les mots valsentLes regards insoutenableQui ose à peine se prolonger…Ceci dans la plus grande entiseDe la peur du retour.Nostalgique sont ses minutesCar au fond on ne lutte pas contre les souvenirs,On ne peux dérober l’avenirSans retirer les épines du passé.Sourire accompagnant ma routeAlors que pour moiL’instant reste noir.Le quai,la cathédrale,le jardinEt le troquet du coinSe souvienent de nous.Dans cette valse infernalLes cœurs gardent leur calme,Les jours sont bien devenu des nuitsDepuis…