Les yeux bandés
D’un voile légé
Promise pour un voyage d’éternité
A des carresses rafinées.
Un souffle remplaçant les mots,
Alors que vêtue je suis
Tu me déssine
Comme tu me scrute.
Ce sont des milliard d’années
Qui s’achéve à mes hanches,
Pour retombé sur la courbe d’une épaule
Qui ne cache pas les frissons du voyage.
Dans toute sa pudeur
Sans sa pâleur ,en dessous de se pull bat un cœur…
Ma chair n’est plus que parfum
Travaillé par tes mains…
C’est alors que le voile tomba
Pour accompagné tes baisés
Sur ma nuque dénudé.
Ainsi s’acheva le voyage
Dans sa plus grande beauté.
Les yeux bandésD’un voile légéPromise pour un voyage d’éternitéA des carresses rafinées.Un souffle remplaçant les mots,Alors que vêtue je suisTu me déssineComme tu me scrute.Ce sont des milliard d’annéesQui s’achéve à mes hanches,Pour retombé sur la courbe d’une épauleQui ne cache pas les frissons du voyage.Dans toute sa pudeurSans sa pâleur ,en dessous de se pull bat un cœur…Ma chair n’est plus que parfumTravaillé par tes mains…C’est alors que le voile tombaPour accompagné tes baisésSur ma nuque dénudé.Ainsi s’acheva le voyageDans sa plus grande beauté.