LETTRE

Publié le par angel

 

Mots qui pésent ,

soudaine faiblesse

lorsque dans mon coin tu me laisse .

 

Soudainement la terre me blésse ,

je deviens maladresse .

Instant frauduleux ;

je relis ta derniére lettre

tu me dis adieu .

 

Faillait il que l'on change ,

que l'on s'échange ...

tout devient mélodrame étrange !

 

Une gorge nouée ,

sensation de mains liées

un coeur sérré .

 

Tard ;

il est si tard lorsque je te lis ,

il fait déjà si nuit ..

je ne peux lancer de crie ;

coeur meurtri .

 

mon assassin royal ....

je n'ai pas vu s'éteindre la flamme .

Publié dans ASSASSIN ROYAL

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V
c'est virginie, effectivement, je crois que l'on se retrouve dans nos textes...peut être les mêmes blessures....Très joli texte en tout cas, qui me parle aussi...amicalement
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B
Et l'écho répète son nom,encore et encore....... l'entend-il ? Bonne soirée, bisous.
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P
j'ai trouver ce poeme sur le net pour toi ...j'ai épuiser mon energie a écrire mon dernier texte alors cette fois je triche tu as un copier coller mais c'est le geste qui compte je t'aime bisoussssEt j'écaille ton nom sur le gravier du chemin Et j'égrène la vie, et je rêve ta main Rêve d'un souvenir au tout lisse contour Lisse et froid Mais surtout Rempli de toi Rempli de jour Rempli d'un tout Nommé Effroi Toujours si lourd Toujours si froid Toujours présent à chaque instant… à chaque fois. Et tu es là. Nous devons partir Partir loin du doute Mais loin de nos rêves S'enfuir de nos rires Et de notre sève Pour fuir une route Un chemin tout tracé Chemin de brouillard Au hasard des sourires, du cafard et du pire Au hasard d'un espoir, le tracé des ratés Instants D'avant Coulées De sang Suicide Trop tôt Morbide Tombeau Je rejoindrai les vers qui mangeront tes os Qui mangeront tes nerfs, tes sens et tes boyaux Ne t'inquiètes de rien, je te rejoins bientôt. D'ici là je voudrais avoir connu une clarté de bonheur, un de ces instants qui prévalent sur les autres lorsque l'on est en haut du pont et qu'en bas l'eau vous interroge sardoniquement. D'ici là je voudrais contribuer, être une lueur, un de ces êtres qui font du mieux aux autres lorsqu'ils touchent le fond et qu'en bas de leur puit ils souffrent silencieusement En bas de leur puit, ils souffrent de gouttes en gouttes Ils scarifient leur jeunesse ainsi, de puits en puits De déprimes en dépression, et tout ça en néant En un néant vaguement jaune mais grisant Tandis que s'agite en mon crâne, en mon crâne noirci Tandis que s'agite en mon crâne un immense fouillis Mais donc, hommes peuplant le monde Quand il n'y aura plus rien, que repoussera-t-il ? Se connaît on soi-même ? Est ce que je suis utile ? L'île inutile Des rêveurs obsolètes La vie magnifique Des rêveurs, des prophètes La réalité impossible Faites que ça s'arrête Ou que ça soit mieux, alors Tout grand, faramineux, encore Le bonheur pour tous Le bonheur pour moi Le bonheur, monsieur Ca n'existe pas.
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A
Hello, c\\\'est  Alice. Comme le dit Racine, dans Andromaque:"La douleur qui se tait n\\\'en est que plus funeste". Or donc, tu as raison de la transformer en mots que tu nous donnes à lire. Tes textes sont déchirants et l\\\'on voudrait t\\\'apporter un soutien ! Mais quel que soit ton chagrin, ne le laisse pas éteindre la petite lumière de ton âme et dis-toi qu\\\'il y a toujours plus malheureux que toi. Je sais, c\\\'est bête comme "chou" mais cela permet de relativiser...Bien à toi, Alice HUGO
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A
oui ca va merci jespere que ttoi tu va bien je te fais de gros bisoussssssss
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